First record of serpulids from the Cretaceous (Maastrichtian) of Türkiye

• Published in: Annales de paléontologie (1982) 2024-10, Vol.110 (4), p.102736, Article 102736
• Main Authors: Vinn, Olev, Hosgör, İzzet, Alkahtane, Abdullah A., El Hedeny, Magdy, Al Farraj, Saleh
• Format: Article
• Language: English
• Subjects: Cretaceous; Middle East; Moyen-Orient; Mésozoïque tardif; Paleobiogeography; Paléobiogéographie; Serpulids; Serpulidés; Tethys; Téthys
• ISSN: 0753-3969
• DOI: 10.1016/j.annpal.2024.102736

The first serpulid has been found in the Cretaceous of Türkiye and identified as Parsimonia antiquata. This is the first record of Parsimonia from the Cretaceous of the Middle East. The discovered specimen is not located on the exterior of ammonite shell, but in the interior, suggesting a post mortem nature of this serpulid-ammonite association. The tropical Tethys was rich in various shelly invertebrates and presumably had favorable conditions for serpulid worms. The lack of previous records of serpulids from the Cretaceous of Türkiye can be explained by a collecting bias. The find of Parsimonia in the Maastrichtian Beyobası Formation in the Haymana-Polatlı basin, central Türkiye, represents the warmest water record of the genus in the Cretaceous, and demonstrates that the genus had a wider geographic and climatic distribution than previously known. Le premier serpulidé a été trouvé dans le Crétacé de la Turquie et identifié comme Parsimonia antiquata. Ceci est la première mention de Parsimonia du Crétacé au Moyen-Orient. Le spécimen découvert ne se trouve pas à l’extérieur de la coquille d’ammonite, mais à l’intérieur, suggérant une nature post mortem de cette association serpulidé-ammonite. La Téthys tropicale était riche en divers invertébrés à coquille et avait probablement des conditions favorables pour les vers serpulidés. Le manque de découvertes de serpulidés dans le Crétacé de Turquie peut s’expliquer par un biais de collecte. La découverte de Parsimonia dans la formation de Beyobası du Maastrichtien dans le bassin de Haymana-Polatlı, en Turquie centrale, représente l’enregistrement d’eau la plus chaude associée au genre au Crétacé, et montre que le genre avait une distribution géographique et climatique plus large que précédemment connue.