Loading…

Échographie du plexus brachial, aspect normal et applications pratiques

L’échographie du plexus brachial, quoique difficile de premier abord, est tout à fait réalisable au prix d’un apprentissage théorique et pratique assez rapide. Le repérage précis des racines se fait grâce à la forme (un seul processus) de l’apophyse transverse de C7 en paravertébral, et à la positio...

Full description

Saved in:
Bibliographic Details
Published in:Journal de radiologie diagnostique et interventionnelle 2014-03, Vol.95 (3), p.264-280
Main Authors: Lapegue, F., Faruch-Bilfeld, M., Demondion, X., Apredoaei, C., Bayol, M.-A., Artico, H., Chiavassa-Gandois, H., Railhac, J.-J., Sans, N.
Format: Article
Language:fre
Subjects:
Citations: Items that this one cites
Online Access:Get full text
Tags: Add Tag
No Tags, Be the first to tag this record!
Description
Summary:L’échographie du plexus brachial, quoique difficile de premier abord, est tout à fait réalisable au prix d’un apprentissage théorique et pratique assez rapide. Le repérage précis des racines se fait grâce à la forme (un seul processus) de l’apophyse transverse de C7 en paravertébral, et à la position superficielle de C5 au niveau du défilé interscalénique. La technique du « téléphérique » permet de suivre aisément ces racines puis les troncs et les faisceaux jusqu’en supra-claviculaire. En quelques années, l’échographie du plexus est devenue un examen de routine en anesthésie pour le guidage de blocs nerveux. Entre des mains entraînées, elle s’avère également informative dans les syndromes du défilé cervico-thoraco-brachial, en pathologie traumatique (principalement pour les lésions post-ganglionnaires) et en pathologie tumorale. Même si l’IRM reste l’examen de référence dans ces indications, l’échographie, par sa définition supérieure et son caractère dynamique, constitue un excellent complément encore sous-exploité.
ISSN:2211-5706
DOI:10.1016/j.jradio.2014.01.004