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Immmunothérapie sous-cutanée dans l’allergie au moustique : à propos de 3 cas
L’allergie IgE-dépendante au moustique est rare. Les réactions locales étendues prédominent, les cas d’anaphylaxie sont très rares. De 2011 à 2016, 3 cas d’allergie aux piqûres de moustique (1 garçon de 14 ans, 2 et 3 femmes de 23 et 48 ans), avec prick-tests (PT)+(Stallergènes, Aedes communis) et I...
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Published in: | Revue française d'allergologie (2009) 2019-04, Vol.59 (3), p.306-306 |
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Main Authors: | , |
Format: | Article |
Language: | fre |
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Summary: | L’allergie IgE-dépendante au moustique est rare. Les réactions locales étendues prédominent, les cas d’anaphylaxie sont très rares.
De 2011 à 2016, 3 cas d’allergie aux piqûres de moustique (1 garçon de 14 ans, 2 et 3 femmes de 23 et 48 ans), avec prick-tests (PT)+(Stallergènes, Aedes communis) et IgEs+(CAP-ThermoFisher, Aedes communis) ont reçu une immunothérapie sous-cutanée (ITSC) pendant 4 à 5 ans pour des réactions locales étendues et invalidantes, immédiates et retardées (jusque +20cm de diamètre et >1 semaine), sans anaphylaxie.
L’ITSC moustique (Stallergènes Alustal Moustique, extrait de corps total d’Aedes communis) a été bien tolérée, avec seulement quelques réactions locales de +10cm, contrôlées par anti-histaminiques. Les cas 1 et 2 ont négativé leurs PT après 3–5 ans, avec diminution ou négativation des IgEs (2,88 à 2,05 et 1,07 à |
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ISSN: | 1877-0320 1877-0320 |
DOI: | 10.1016/j.reval.2019.02.190 |