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Immune checkpoint inhibitors versus second line chemotherapy for patients with lung cancer refractory to first line chemotherapy

But: Les inhibiteurs du point de contrôle immunitaire (ICI) dirigés par le ligand antiprogrammé de la mort (PD1/PD-L1) sont largement utilisés pour traiter les patients atteints d’un cancer du poumon non à petites cellules (CPNPC) avancé qui progressent après une chimiothérapie de première intention...

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Published in:Respiratory medicine and research 2020-11, Vol.78, p.100788
Main Authors: Lefebvre, C., Martin, E., Hendriks, L.E.L., Veillon, R., Puisset, F., Mezquita, L., Ferrara, R., Sabatier, M., Filleron, T., Dingemans, A.-M.C., Besse, B., Raherisson, C., Mazières, J.
Format: Article
Language:English
Subjects:
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Description
Summary:But: Les inhibiteurs du point de contrôle immunitaire (ICI) dirigés par le ligand antiprogrammé de la mort (PD1/PD-L1) sont largement utilisés pour traiter les patients atteints d’un cancer du poumon non à petites cellules (CPNPC) avancé qui progressent après une chimiothérapie de première intention. La meilleure stratégie après une progression précoce en première ligne n’a pas été spécifiquement étudiée.Patients et méthodes: Nous avons mené une étude rétrospective multicentrique incluant tous les patients consécutifs atteints de CPNPC progressant dans les 3 premiers mois suivant l’introduction de la chimiothérapie de première intention et traités par ici de deuxième ligne en monothérapie ou chimiothérapie entre mars 2010 et novembre 2017. Nous avons analysé les données clinicopathologiques et les résultats de la chimiothérapie de deuxième intention par rapport à l’ICI de deuxième ligne : taux de réponse objective (ORR), survie sans progression (SSP), survie globale (SG).Résultats: Nous avons identifié 176 patients atteints d’une maladie réfractaire, 99 qui ont reçu une immunothérapie ultérieure et 77 ont subi une chimiothérapie. Les 2 populations étaient comparables en ce qui concerne les principaux critères pronostiques, l’âge médian était de 60 ans, l’histologie principale était l’adénocararcimome (68,2%). La SSP n’était pas significativement différente entre les deux traitements 1,9 [1,8-2,1] contre 1,6 mois [1,4-2,0] (P = 0,125). Par rapport à la chimiothérapie, les patients traités par ICI avaient une SG supérieure (P = 0,03) (IC médiane [IC à 95 %)] OS 4,6 [2,8-6,7] contre 4,2 mois [3,4-5,9] et une amélioration non significative de la RRO (17,2 % contre 7,9 %, respectivement, P = 0,072). Un mauvais état de performance (ECOG PS≥2) et un nombre plus élevé de sites métastatiques (≥3) ont été associés à un pronostic plus sombre. Les patients mutés par KRAS ne semblaient pas bénéficier davantage de l’ICI que de la chimiothérapie.Conclusions: L’ICI semble être le traitement de deuxième intention préféré des patients réfractaires à la chimiothérapie de première intention.
ISSN:2590-0412
DOI:10.1016/j.resmer.2020.100788