Loading…
Des films pour relier : introduire les affects dans la business school
Projeter des films dans la business school permet de réintroduire les affects, qui y sont trop souvent absents. En nous appuyant sur Rancière, Deleuze, Cavell et Stiegler, nous proposons qu’à l’inverse des modèles abstraits et univoques les films relient au monde et à la vie dans sa diversité et sa...
Saved in:
Published in: | Management international (Montréal) 2022, Vol.26 (5), p.48-60 |
---|---|
Main Authors: | , , |
Format: | Article |
Language: | fre |
Subjects: | |
Citations: | Items that this one cites |
Online Access: | Get full text |
Tags: |
Add Tag
No Tags, Be the first to tag this record!
|
Summary: | Projeter des films dans la business school permet de réintroduire les affects, qui y sont trop souvent absents. En nous appuyant sur Rancière, Deleuze, Cavell et Stiegler, nous proposons qu’à l’inverse des modèles abstraits et univoques les films relient au monde et à la vie dans sa diversité et sa fragilité. Ils décalent, affectent, interrogent, ils mettent en mouvement, font entrer la vie dans la salle de classe et incitent à contribuer, prendre la parole et prendre soin. Plutôt qu’apprendre à manager la vie et le monde, ils invitent à faire entrer le monde et la vie dans le management. |
---|---|
ISSN: | 1206-1697 1918-9222 |
DOI: | 10.7202/1095467ar |