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Venger Baudelaire ? Une économie du sacrifice et de la dette
La réception de l’œuvre de Baudelaire aux xx e et xxi e siècles est dominée par le sentiment diffus d’une dette collective, en réponse à ce qui est envisagé comme un sacrifice de Baudelaire à son art. Cette dette s’explique par l’importance de l’héritage esthétique mais aussi par la mémoire du procè...
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Published in: | Littérature (Paris. 1971) 2015, Vol.177 (1), p.48-60 |
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Format: | Article |
Language: | fre |
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Summary: | La réception de l’œuvre de Baudelaire aux xx e et xxi e siècles est dominée par le sentiment diffus d’une dette collective, en réponse à ce qui est envisagé comme un sacrifice de Baudelaire à son art. Cette dette s’explique par l’importance de l’héritage esthétique mais aussi par la mémoire du procès et de la maladie du poète. Ainsi, les échos littéraires que l’œuvre a suscités doivent être lus à la lumière d’une dynamique du don et du contre-don entre le poète et ceux qui se considèrent comme ses héritiers. |
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ISSN: | 0047-4800 1958-5926 |
DOI: | 10.3917/litt.177.0048 |