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Démarrage d'entreprises par les chinois, italiens et sikhs au Canada: quelques résultats empiriques

Une faible proportion des entrepreneurs de notre échantillon a immigré au Canada pour des raisons entrepreneuriales. Ils se sont par la suite lancés en affaires tout d'abord pour des raisons d'indépendance et d'économie. Plusieurs ont découvert leur occasion d'affaires grâce à le...

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Published in:Journal of small business and entrepreneurship 2003-03, Vol.16 (3-4), p.41-65
Main Authors: Filion, Louis Jacques, Brenner, Gabrielle A., Ramangalahy, Charles, Menzies, Teresa V.
Format: Article
Language:fre
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Description
Summary:Une faible proportion des entrepreneurs de notre échantillon a immigré au Canada pour des raisons entrepreneuriales. Ils se sont par la suite lancés en affaires tout d'abord pour des raisons d'indépendance et d'économie. Plusieurs ont découvert leur occasion d'affaires grâce à leurs expériences et à leurs contacts, mais aussi par hasard et à la suite d'observations qu'ils ont faites. Souvent localisées là où le groupe ethnique est dominant, ces entreprises opèrent principalement dans les secteurs du service, du commerce de détail et de gros. Ces entrepreneurs ont mis environ deux ans à démarrer leur projet. Confrontés, dans une proportion importante, à des problèmes de financement, ils ont investi personnellement l'essentiel du capital de départ et recouru au support de leur famille et des institutions bancaires pour le reste. Les principaux problèmes auxquels ils ont été confrontés portent sur la finance, le marketing, les ressources humaines, l'environnement institutionnel et la production. Nous avons relevé plusieurs différences entre groupes ethniques quant au démarrage des entreprises.
ISSN:0827-6331
2169-2610
DOI:10.1080/08276331.2003.10593307