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Awareness and Use of Canada's Children's Fitness Tax Credit
Cette étude porte sur la connaissance et l'utilisation du crédit d'impôt pour la condition physique des enfants (CICPE) du Canada, et se fonde sur les données des déclarations de revenus des contribuables de 2007 a 2009 ainsi que sur les données d'une enquete nationale qui sonde la pe...
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Published in: | Canadian tax journal 2013-07, Vol.61 (3), p.599-632 |
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Format: | Article |
Language: | English |
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Summary: | Cette étude porte sur la connaissance et l'utilisation du crédit d'impôt pour la condition physique des enfants (CICPE) du Canada, et se fonde sur les données des déclarations de revenus des contribuables de 2007 a 2009 ainsi que sur les données d'une enquete nationale qui sonde la perception des parents relativement au CICPE. Les données des déclarations de revenus de Statistique Canada nous permettent d'examiner ce que les contribuables ont fait, alors que les données de l'enquete nationale nous permettent d'étudier dans quelle mesure les Canadiens ayant des enfants de moins de 18 ans connaissaient l'existence du CICPE, leur perception de son importance, et son lien dans leur décision d'inscrire leurs enfants a des programmes d'activité physique organisés. Collectivement, ces deux sources de données offrent un portrait plus complet des personnes qui utilisent le CICPE et aident a déterminer les raisons possibles pour lesquelles d'autres ne demandent pas le crédit. Lors de l'analyse des données des déclarations de revenus, de multiples procédures de régression logistique ont été utilisées pour examiner les associations statistiques entre l'utilisation du CICPE et les montants demandés au titre de ce crédit, et des données socio-économiques et démographiques, telles que le revenu, la province/le territoire de résidence, le milieu de vie urbain/rural, l'âge des parents, le statut d'immigré, la structure familiale, le sexe de l'enfant et le nombre d'enfants. Nos résultats démontrent que les families monoparentales, celles ayant au moins un garçon et celles vivant en milieu urbain étaient plus portées a demander le CICPE et a demander des montants plus élevés. La probabilité de demander le CICPE était entre 4 et 30 pour cent plus élevée dans les familles dont les niveaux de revenu annuel étaient supérieurs a 20 000 $ par rapport a celles gagnant moins de 20 000 $ annuellement. Dans la plupart des cas, le montant demandé augmentait également avec la hausse du revenu, de sorte que les familles gagnant de 100 000 a 200 000 $ et celles gagnant plus de 200 000 $ faisaient des demandes au titre du CICPE qui étaient, en moyenne, de 125 $ et de 250 $ plus élevées, respectivement, que celles gagnant moins de 20 000 $. Nous avons utilisé des méthodes statistiques semblables pour notre analyse des données d'enquete représentatives a l'échelle nationale, afin de calculer les fréquences et les estimations de la prévalence selon les caractéristiques des participants, et po |
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ISSN: | 0008-5111 |