Biofluorescence and predator avoidance in the giraffe

• Published in: African journal of ecology 2023-06, Vol.61 (2), p.519-522
• Main Authors: Morandi, Kin, Lindholm, Anna K., Lee, Derek E., Bond, Monica L.
• Format: Article
• Language: English
• Subjects: Absorption; Crepuscular; Diurnal; Fluorescence; Giraffidae; Mammals; Nocturnal; Pelage; Predators; Prey; Ultraviolet radiation
• ISSN: 0141-6707; 1365-2028
• DOI: 10.1111/aje.13107

Biofluorescence of mammalian pelage may serve to hide prey from predators sensitive to ultraviolet radiation, among other potential functions. To date biofluorescence has been documented in nocturnal‐crepuscular and fossorial mammals that are active under low‐light conditions. Giraffes are primarily diurnal, but biofluorescent pelage might offer camouflage from their nocturnal felid predators. Using a full‐spectrum camera we qualitatively analyzed UV reflectance and absorption in giraffe pelage from a museum specimen. We found no trace of UV biofluorescence in the giraffe pelage, suggesting that this trait may not be ecologically or biologically relevant in giraffes. The function of biofluorescence in mammals remains elusive, but our study contributes to the growing body of data about biofluorescence, or its lack thereof, in diurnal versus nocturnal‐crepuscular or fossorial mammal species. Résumé La biofluorescence du pelage des mammifères peut servir à cacher les proies des prédateurs sensibles aux rayons ultraviolets, entre autres fonctions potentielles. Jusqu'à présent, la biofluorescence a été documentée chez les mammifères nocturnes‐crépusculaires et fossoriels qui sont actifs dans des conditions de faible luminosité. Bien que les girafes soient principalement diurnes, leur pelage biofluorescent pourrait leur permettre de se camoufler de leurs prédateurs félins nocturnes. À l'aide d'une caméra à spectre complet, nous avons analysé qualitativement la réflectance et l'absorption des UV dans le pelage des girafes provenant d'un spécimen de musée. Aucune trace de biofluorescence UV n'a été trouvée dans le pelage de la girafe, ce qui suggère que cette caractéristique n'est pas pertinente d'un point de vue écologique ou biologique chez les girafes. Le rôle de la biofluorescence chez les mammifères reste insaisissable, mais notre étude contribue au nombre croissant de données sur la biofluorescence, ou son absence, chez les espèces de mammifères diurnes ou nocturnes, crépusculaires ou fossiles.