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Unintended pregnancy and termination of studies among students in Anambra state, Nigeria: Are secondary schools playing their part?
This study evaluated efforts of secondary schools to prevent unintended pregnancy among students and their reactions to pregnant students before and after delivery. A cross-sectional survey of 46 teachers in three public and two private schools in Anambra state, Nigeria was carried out. Information...
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Published in: | African journal of reproductive health 2011-06, Vol.15 (2), p.109-116 |
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Main Authors: | , , , |
Format: | Article |
Language: | English |
Subjects: | |
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Summary: | This study evaluated efforts of secondary schools to prevent unintended
pregnancy among students and their reactions to pregnant students
before and after delivery. A cross-sectional survey of 46 teachers in
three public and two private schools in Anambra state, Nigeria was
carried out. Information was collected using self-administered
questionnaire. Of all the teachers in the study, 87% reported
unintended pregnancies among students in the previous 3 years.
Expulsion (43%) and suspension (28%) were the most common reactions.
Private schools were more likely to expel pregnant students than public
schools. Following the delivery of their babies, 43% discontinued their
education in the same school, whereas 37% continued their education in
a different school. Counselling was given before suspension or
expulsion in 4% of public schools and 15% of private schools. Majority
of the schools (61%) did not have sex education as part of their
schools' curriculum. Students should be re-admitted in order to ensure
continuity of their academic development, prevent unemployment and
mitigate poverty-induced repeat pregnancy.
Cette étude a évalué les efforts des écoles
secondaires pour prévenir les grossesses non voulues chez les
étudiantes et leurs réactions envers les étudiantes
enceintes avant et après l'accouchement. Nous avons mené une
enquête transversale auprès de 46 enseignants dans trois
écoles publiques et deux écoles privées dans l'état
d'Anambra au Nigéria. Les données ont été
collectées à travers un questionnaire auto-administré.
De tous les enseignants concernés dans l'étude, 87% ont
signalé les grossesses non voulues chez les étudiants au cour
de trois ans précédents. Les réactions les plus communes
ont été l'expulsion (43%) et le renvoi (28%). Les écoles
privées avaient plus la possibilité d'expulser les
étudiantes enceintes que les écoles publiques. Suite à
l'accouchement de leurs bébés, 43% ont cessé de
fréquenter la même école alors que 37% ont continué
leurs études dans une autre école. Avant la suspension ou le
renvoi, 4% des étudiantes enceintes dans les écoles publique
ont reçu des conseils d'orientation et 15% dans les écoles
privées. Dans la majorité des écoles (61%),
l'éducation sexuelle ne figure sur programmes d'études. Il
faut réadmettre les étudiantes pour assurer la
continuité de leur progrès académique, prévenir le
chômage et réduire la grossesse répétée
causée par la pauvreté. |
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ISSN: | 1118-4841 |