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Un exemple type d'organisation incontrôlable, paradoxalement contrôlée : le cas des chambres de commerce et d'industrie
Dans les organisations publiques politiques, on parle de gaspillages et de crise de contrôle. Le contrôle de ces organisations est problématique : leur finalité « intérêt général » n’est ni stable, ni signifiante ; l’évaluation des impacts des politiques menées sur la collectivité est difficile, les...
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Published in: | Comptabilité Contrôle Audit 1999-09, Vol.5 (2), p.151-170 |
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Format: | Article |
Language: | fre |
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Summary: | Dans les organisations publiques politiques, on parle de gaspillages et de crise de contrôle. Le contrôle de ces organisations est problématique : leur finalité « intérêt général » n’est ni stable, ni signifiante ; l’évaluation des impacts des politiques menées sur la collectivité est difficile, les seuls contrôles formels aboutissent en général à un pseudo-contrôle. Dans les faits, les dérives (projets irréalistes ou surdimensionnés) sont limitées, ce qui laisse supposer qu’il existe des formes d’autocontrôlé plus importantes que ne laissent présupposer la littérature, ou la philosophie de la subordination de l’administratif au politique. Afin de vérifier cette hypothèse, nous avons réalisé une étude qualitative dans deux CCI, Tune connaissant des dysfonctionnements, l’autre perçue comme fonctionnant de façon correcte. |
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ISSN: | 1262-2788 2313-514X |
DOI: | 10.3917/cca.052.0151 |