A Canadian Asbestos Counting Trial

• Published in: Canadian journal of public health 1979-09, Vol.70 (5), p.343-350
• Main Authors: GIBBS, G.W., McCULLOUGH, R.S., TATE, R.A.
• Format: Article
• Language: English
• Subjects: Agglomerates; Air Pollutants, Occupational - analysis; Asbestos; Asbestos - analysis; Canada; Experimentation; Geometric mean; Labor standards; Laboratories; Microscope slides; Microscopes; Microscopy, Phase-Contrast; Permanence; Public health; Statistical analysis
• ISSN: 0008-4263; 1920-7476

We conducted a trial in Canada to determine the order of magnitude of observer errors in the routine counting of asbestos fibres. Mounted and unmounted sectors of filters containing airborne asbestos fibres were circulated to 15 laboratories. The results showed considerable variation in the concentrations of airborne dusts recorded by the various laboratories. There were major differences in the methods used to count fibre agglomerates, in the type of graticules used for field areas counted, as well as microscopes used. Mounted samples were not permanent in nature. Laboratories performed better when counting samples of airborne dust similar to those which they normally encountered. Laboratory counts were generally internally consistent. Although there were large numerical differences in counts by the various laboratories, in seven of eleven laboratories counts were not significantly different at the 5% level of probability. The study indicates the need for standardization of methods of counting agglomerates, the use of a standard graticule for field area definition, training in theory and use of microscopes, and need for quality-control in counting asbestos fibres. On a tenté une expérience, au Canada, visant à déterminer l'ordre de grandeur des erreurs d'estimation qui se produisent lors du comptage courant des fibres d'amiante. On a fait circuler parmi 15 laboratoires des secteurs montés et non montés de filtres contenant des fibres d'amiante aéroportées. Les résultats ont fait ressortir une variation considérable des concentrations de pouissières aéroportées relevées par les différents laboratoires. En effet, il y a eu de grandes différences dans les méthodes utilisées pour compter les agglomérés de fibres, dans le type de graticules utilisés pour délimiter l'aire de chaque secteur étudié ainsi que dans le type de microscopes utilisés. Les échantillons montés n'étaient pas de nature permanente. Les laboratoires ont obtenu de meilleurs résultats losqu'ils ont traité des échantillons dépoussière aéroportée similaires à ceux dont ils s'occupaient normalement. En règle générale, les décomptes des laboratoires présentaient une constance interne. En dépit des grandes différences numériques dans les comptages effectués par les différents laboratoires, il y a eu sept laboratoires sur onze dont les décomptes ne comportaient pas de différence significative au niveau de probabilité de 5%. Cette étude montre la nécessité d'une normalisation des méthodes de comptage