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The Religion of the Pagan Tribes of the White Nile1

It is now possible to give an outline of the religious ideas of the more important tribes of the White Nile between Khartum and the southern boundary of the Anglo-Egyptian Sudan. Actually our knowledge is not so excessively limited as would appear from the following narrative; for lack of space I ha...

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Bibliographic Details
Published in:Africa (London. 1928) 1931-01, Vol.4 (1), p.1-21
Main Author: Seligman, C. G.
Format: Article
Language:English
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Description
Summary:It is now possible to give an outline of the religious ideas of the more important tribes of the White Nile between Khartum and the southern boundary of the Anglo-Egyptian Sudan. Actually our knowledge is not so excessively limited as would appear from the following narrative; for lack of space I have omitted much that might be said of rain-makers, totemism, and the cult of the dead, and have avoided all discussion of sacred spears (a considerable cult) and the ‘People of the Nile’ and their river cattle. LA RELIGION DES TRIBUS PAÏENNES DU NIL BLANC Il est maintenant possible de donner un aperçu des idées religieuses ayant cours parmi les plus importantes tribus riveraines du Nil Blanc entre Kartoum et la limite méridionale du Soudan Anglais Égyptien. Elles se partagent en deux groupes: ‘les vrais Nilotiques’—Shilluk, Dinka et Nuer—se composent de Noirs dolichocéphales, d'une taille élevée, formant un groupe homogène dont l'existence et les intérêts reposent entièrement sur le bétail. Les membres du second groupe, bien que parlant les dialectes d'une même langue, qui peut être appelée ‘le Bari’, offrent moins d'uniformité. Les vrais Bari de la rive orientale sont grands et dolichocéphales, mais ceux des tribus parlant ‘bari’ de la rive occidentale sont généralement plus petits, mésaticéphales ou avec une tendance à la mésaticéphalie. Parmi toutes ces tribus se manifeste l'influence d'une culture occidentale ayant probablement son origine dans la région occidentale de la ligne de partage des eaux entre le Congo et le Nil. Le tableau à la p. 3, montre de manière satisfaisante quelques unes des principale caractéristiques religieuses et culturelles des tribus étudiées ici. Chez les Shilluk et les Dinka, mais pas à la connaissance de l'auteur chez les Nuer, le faiseur de pluie est un roi-dieu tué au cours d'une cérémonie quand sa santé ou sa virilité faiblit (Shilluk) ou bien lorsqu'il est parvenu à un âge plus avancé (Dinka). Dans ces trois tribus, l'exogamie (probablement exogamie de clan) existe, quoique l'extension actuelle du Shien des Nuer ne soit pas encore bien claire. Dinka et Nuer ont des totèmes. Il semble que dans les deux tribus le système soit bien défini. Il s'étend au culte des morts et il est influencé par celui-ci. Chez les Shilluk le totémisme est douteux; s'il existe, il peut avoir été emprunté aux Dinka. Ces trois tribus adorent un dieu-ciel. Chez les Dinka, l'identification de ce dieu Nyalic avec Dengdit (faite par l'auteur dans les étude
ISSN:0001-9720
1750-0184
DOI:10.2307/1155735