Late vascular complications after cranial radiotherapy: A report of two illustrative cases

• Published in: Cancer radiothérapie 2021-12, Vol.25 (8), p.786-789
• Main Authors: Madera, J., Sánchez-Soblechero, A., Navarrete Solano, P., Corro Verde, U., Marco de Lucas, E., Pacheco Baldor, M., Prada, P.J., Pascual, J.
• Format: Article
• Language: English
• Subjects: Cranial radiotherapy; Microangiopathie minéralisante; Mineralizing microangiopathy; Radiothérapie crânienne; SMART syndrome; Syndrome SMART
• ISSN: 1278-3218; 1769-6658
• DOI: 10.1016/j.canrad.2021.04.003

Cranial radiotherapy (CRT) is used to treat a large variety of benign and malignant disorders. We present two cases of late neurological complications after CRT and briefly discuss its diagnosis and their shared pathophysiological aspects. The first case is a patient with cognitive impairment associated to mineralizing microangiopathy ten years after CRT for nasopharyngeal carcinoma and the second one is a woman with Stroke-like Migraine Attacks after Radiation Therapy (SMART) syndrome two years after CRT for anaplastic meningioma. Nowadays, higher survival rates might cause an increase in appearance of late neurological complications after CTR. These reported cases show that late complications can mimic a wide variety of neurological conditions and the importance of magnetic resonance image (MRI) to get a diagnosis. La radiothérapie crânienne est utilisée pour traiter une grande variété de maladies bénignes et malignes. Nous présentons deux cas de complications tardives après radiothérapie crânienne et discutons brièvement de leur difficile diagnostic et des aspects physiopathologiques communs des deux entités. Le premier cas est un patient atteint d’une déficience cognitive associée à une microangiopathie minéralisante, dix ans après avoir reçu une radiothérapie crânienne pour un carcinome du nasopharynx et le second cas, est une femme qui développe un syndrome SMART (Stroke-like Migraine Attacks after Radiation Therapy) à peine deux ans après avoir reçu une radiothérapie crânienne pour un méningiome anaplasique. L’ augmentation des taux de survie entraînera à l’avenir une augmentation des complications neurologiques tardives suite à la radiothérapie crânienne. Ces deux cas rapportés sont un bon exemple dont comment ces complications tardives de la radiothérapie crânienne peuvent simuler une grande variété de maladies neurologiques et soulignent donc le rôle crucial de l’IRM dans leur diagnostic.