Internalization theory for the digital economy

• Published in: Journal of international business studies 2019-10, Vol.50 (8), p.1372-1387
• Main Authors: Banalieva, Elitsa R, Dhanaraj, Charles
• Format: Article
• Language: English
• ISSN: 0047-2506; 1478-6990
• DOI: 10.1057/s41267-019-00243-7

We study the internationalization of digital service multinational enterprises (SMNCs), focusing on how digitalization alters internalization theory’s assumptions about the nature of firm-specific assets (FSAs) and the theory’s predictions about governance choices in cross-border transactions. We invoke Simon’s (Proc Am Philos Soc 106(6):467–482, 1962) near-decomposability concept to explain how digitalization enables two distinct types of FSAs – technology and human capital. Applying the ideas of modularity and skill complexity, we further distinguish between core versus peripheral technology FSAs and between generic versus advanced human capital FSAs. Building on the transferability and appropriability of these strategic assets, we theorize on the FSAs’ internalization propensity in the digital age. We propose that with rising digitalization, the network plays a dual role – as a governance mode and as a strategic resource. Integrating insights from network economics, particularly increasing returns to scale, we propose that network advantages (O n ) emerge as a distinct strategic resource that merits separate investigation from the traditional asset-based (O a ) and transaction-based (O t ) advantages. Nous étudions l’internationalisation des entreprises multinationales de services numériques (EMNSN), en nous concentrant sur la façon dont la numérisation modifie les hypothèses de la théorie de l’internalisation concernant la nature des actifs spécifiques d’entreprise (ASE) et les prévisions de la théorie sur les choix de gouvernance dans les transactions transfrontalières. Nous invoquons le concept de quasi-décomposabilité de Simon (1962) pour expliquer comment la numérisation permet deux types distincts d’ASE : la technologie et le capital humain. En appliquant les idées de modularité et de complexité des compétences, nous distinguons davantage les ASE fondés sur les technologies de base et ceux fondés sur les technologies périphériques, et les ASE génériques et ceux fondés sur le capital humain avancé. En nous appuyant sur la transférabilité et l’appropriation de ces actifs stratégiques, nous formulons une théorie sur la propension à l’internalisation des ASE à l’ère du numérique. Nous proposons qu’avec la numérisation croissante, le réseau joue un double rôle - comme mode de gouvernance et comme ressource stratégique. En intégrant les connaissances tirées de l’économie des réseaux, en particulier les rendements d’échelle croissants, nous proposons que