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Construction géohistorique du « sauvage » de la Garonne toulousaine : quelle part de naturalité dans les paysages fluviaux ? (3ème partie)
La Garonne toulousaine (entre Toulouse et la confluence du Tarn) est composée de nombreuses annexes fluviales : bras-morts, zones humides et ripisylves. Ici, différents dispositifs de protection labellisent une dimension « sauvage » pour le fleuve, favorisant son maintien et sa conservation sans rée...
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Published in: | Développement durable & territoires 2014-12, Vol.5 (Vol. 5, n°3) |
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Format: | Article |
Language: | fre |
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Summary: | La Garonne toulousaine (entre Toulouse et la confluence du Tarn) est composée de nombreuses annexes fluviales : bras-morts, zones humides et ripisylves. Ici, différents dispositifs de protection labellisent une dimension « sauvage » pour le fleuve, favorisant son maintien et sa conservation sans réellement s'interroger sur leur état d’origine. Face à ce constat, comment considérer la part de naturalité des paysages fluviaux de la Garonne toulousaine aujourd’hui ? Au dire des gestionnaires, la Garonne possède une image forte de fleuve « sauvage » alors que l’héritage géohistorique montre plutôt une Garonne impactée par les activités humaines. Ce travail interroge le sens du décalage entre cette réalité géohistorique et l’image véhiculée par les représentations contemporaines du fleuve. |
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ISSN: | 1772-9971 1772-9971 |
DOI: | 10.4000/developpementdurable.10629 |