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Je ne veux pas ressembler à ma mère… ou l’impasse de la féminité

Le but de cette étude est de mettre en lumière le difficile accès à la féminité tel qu’il se révèle à l’adolescence, ce moment charnière mettant en évidence tout ce que la relation mère–fille comporte de « ravageant ». À travers le cas clinique de Nina, l’auteur se propose de dérouler les divers tem...

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Bibliographic Details
Published in:Neuropsychiatrie de l'enfance et de l'adolescence 2010, Vol.58 (3), p.140-144
Main Author: Choukroun, J.
Format: Article
Language:fre
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Description
Summary:Le but de cette étude est de mettre en lumière le difficile accès à la féminité tel qu’il se révèle à l’adolescence, ce moment charnière mettant en évidence tout ce que la relation mère–fille comporte de « ravageant ». À travers le cas clinique de Nina, l’auteur se propose de dérouler les divers temps d’un début de traitement psychothérapeutique pour en pointer ses impasses. Il s’agira d’interroger la nature de celles-ci : sont-elles transférentielles et/ou structurelles ? Comment la constellation familiale vient-elle favoriser les symptômes ? Comment le corps se révèle-t-il le lieu de ces impasses ? The goal of this study is to clarify the difficult access to femininity as it appears with adolescence, the turning point highlighting all that the relation of mother–daughter comprises of “devastating”. Through the clinical case of Nina, the author proposes to unroll various moments of the beginning of a psychotherapeutic treatment to point the dead-ends. It will be to question their nature: are they tranferential and/or structural? How does the family constellation come to support the symptoms? How does the body appear at the place of these dead-ends?
ISSN:0222-9617
1769-6615
DOI:10.1016/j.neurenf.2009.11.002