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Estimating the sensitivity of CEO compensation to gross versus net accounting performance

In empirically estimating the relation between CEO compensation and accounting‐based firm and peer performance, researchers often define the performance variables net of CEO compensation expense. We analytically show that a researcher's use of CEO compensation as a regression's dependent v...

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Published in:Contemporary accounting research 2024-03, Vol.41 (1), p.255-291
Main Authors: Black, Dirk E., Dikolli, Shane S., Hofmann, Christian, Pfeiffer, Thomas
Format: Article
Language:English
Subjects:
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Description
Summary:In empirically estimating the relation between CEO compensation and accounting‐based firm and peer performance, researchers often define the performance variables net of CEO compensation expense. We analytically show that a researcher's use of CEO compensation as a regression's dependent variable and as an expense in defining a regression's independent variables representing accounting‐based firm and peer performance will bias the researcher's pay‐for‐performance and relative performance evaluation (RPE) regression coefficients. In a panel estimation of CEO compensation, we document an attenuation bias in the coefficients on net firm and net peer performance. This evidence may partially explain inferences of weak CEO incentives and limited usage of RPE in prior work. Our results imply that in CEO compensation regressions, a researcher can remove biases in inferring CEO incentives and RPE usage by using gross rather than net accounting performance variables—that is, by adding back CEO compensation expense to net accounting measures. RÉSUMÉ Évaluation de la sensibilité de la rémunération du PDG aux performances comptables brutes et nettes Lorsque les chercheurs évaluent empiriquement la relation entre la rémunération du PDG et la performance comptable de l’entreprise et de ses pairs, ils définissent souvent les variables liées à la performance en déduisant les charges de rémunération du PDG. Les analyses des auteurs démontrent que l’utilisation de la rémunération du PDG à la fois comme variable dépendante à la régression et comme dépense dans la définition des variables indépendantes à la régression ‐ celles‐ci étant liées à la performance comptable de l’entreprise et de ses pairs ‐ introduit un biais dans les coefficients de régression de la rémunération au rendement et l’évaluation de la performance relative. En réalisant une évaluation de la rémunération du PDG basée sur des données de panel, les auteurs constatent un biais atténué et lié aux coefficients de performance nette de l’entreprise et de ses pairs. Ces données peuvent expliquer en partie les conclusions relatives aux faibles incitations des PDG et à l’utilisation limitée de l’évaluation de la performance relative dans des études antérieures. Les résultats suggèrent qu’un chercheur peut, par les régressions de la rémunération du PDG, éviter les biais liés aux incitations des PDG et à l’utilisation de l’évaluation de la performance relative en utilisant des variables de performance comptable brute
ISSN:0823-9150
1911-3846
DOI:10.1111/1911-3846.12917