DIFFERENTIAL K THEORY AND RACIAL HIERARCHIES

• Published in: Canadian psychology = Psychologie canadienne 1990-01, Vol.31 (1), p.1-13
• Main Authors: WEIZMANN, FREDRIC, WIENER, NEIL I, WIESENTHAL, DAVID L, ZIEGLER, MICHAEL
• Format: Article
• Language: English
• Subjects: Anatomy; Crime; Evolution; Fertility; Human; Intelligence Quotient; Psychosexual Behavior; Racial and Ethnic Differences; Racial differences; Rushton, Philippe; Sociobiology; Theories
• ISSN: 0708-5591; 1878-7304
• DOI: 10.1037/h0078934

Rushton's Differential K theory, derived from the r/K model of evolutionary selection, purportedly explains racial differences in sexual practices and anatomy, fertility, 1Q, and criminality. These differences supposedly define an evolutionary ladder on which Mongoloids > Caucasoids > Negroids. We point out that the r/K model is frequently misinterpreted and overgeneralized, that the predictions that Rushton derives from the r/K model are arbitrary, and that these predictions are supported by the selective citation and misrepresentation of the research literature and by the use of unreliable sources. Changes in human life-history traits are so rapid that there is no need to posit genetic selection to explain intergroup variation. La Théorie différentielle K de Rushton dérivée du modèle r/K de la sélection évolutionnaire prétend expliquer les différences raciales dans le domaine des pratiques sexuelles, I'anatomie, la fertilité, le quotient intellectuel, et la criminalité. Ces différences sont sensées définir une échelle évolutionnaire sur laquelle on retrouve les Mongoliens, les Causasiens, et les Negroïdes. L'article fait remarquer que le modèle r/K est fréquemment mal interprété et trop généralisé, que les prédictions que Rushton en retire sont arbitraires et qu'elles sont appuyées par une citation sélective, une mauvaise représentation de la littérature de la recherche et par l'utilisation de sources sur lesquelles on ne peut pas compter. Les changements dans les caractéristiques de l'histoire de la vie humaine sont tellement rapides que le besoin de faire appel à la sélection génétique pour expliquer la variation entre les groupes n'existe pas.