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Effects of habitual knuckle cracking on metacarpal cartilage thickness and grip strength

Joint cracking involves a manipulation of the finger joints resulting in an audible crack. This study aimed to determine whether habitual knuckle cracking (KC) leads to an alteration in grip strength and metacarpal head (MH) cartilage thickness. Thirty-five habitual knuckle crackers (cracking their...

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Published in:Hand surgery and rehabilitation 2017-02, Vol.36 (1), p.41-43
Main Authors: Yildizgören, M.T., Ekiz, T., Nizamogullari, S., Turhanoglu, A.D., Guler, H., Ustun, N., Kara, M., Özçakar, L.
Format: Article
Language:English
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Description
Summary:Joint cracking involves a manipulation of the finger joints resulting in an audible crack. This study aimed to determine whether habitual knuckle cracking (KC) leads to an alteration in grip strength and metacarpal head (MH) cartilage thickness. Thirty-five habitual knuckle crackers (cracking their joints ≥5times/day) (20 M, 15 F, aged 19–27 years) and 35 age-, gender-, and body mass index-matched non-crackers were enrolled in the study. MH cartilage thickness was measured with ultrasound and grip strength was measured with an analog Jamar hand dynamometer. Grip strength was similar between groups (P>0.05). Habitual knuckle crackers had thicker MH cartilage in the dominant and non-dominant hands than those of the controls (P=0.038 and P=0.005, respectively). There was no correlation between MH cartilage thickness and grip strength in both groups (P>0.05). While habitual KC does not affect handgrip strength, it appears to be associated with increased MH cartilage thickness. L’habitude de faire craquer les articulations est un comportement impliquant la manipulation des doigts longs et provocant un craquement audible. Cette étude visait à déterminer si des craquements articulaires habituels pouvaient mener à une altération de la force de poigne et un amincissement du cartilage des têtes métacarpiennes (TMC). Trente-cinq personnes (20H, 15 F, âgées de 19 à 27ans) ayant l’habitude de faire craquer leurs articulations (≥5 fois par jour) et 35 personnes ne le faisant pas, appariées selon large, le sexe et l’indice de masse corporelle, ont été incluses dans l’étude. L’épaisseur du cartilage des TMC et la force de poigne ont été mesurées respectivement par échographie et avec un dynamomètre de main Jamar. La force de poigne était équivalente dans les deux groupes (p>0,05). Les personnes ayant l’habitude de faire craquer leurs articulations avaient une épaisseur de cartilage plus importante sur la main dominante et la main non dominante que les patients du groupe contrôle (p=0,038 and p=0,005, respectivement). Il n’y avait pas de corrélation entre l’épaisseur du cartilage des TMC et la valeur de la force de poigne dans les deux groupes (p>0,05 dans les deux groupes). Bien que l’habitude de faire craquer les articulations n’altère pas la force de poigne, elle semble être associée avec une augmentation de l’épaisseur du cartilage des TMC.
ISSN:2468-1229
2468-1210
DOI:10.1016/j.hansur.2016.09.001