Modulation of the Attentional Blink by Differential Resource Allocation

• Published in: Canadian journal of experimental psychology 2001-12, Vol.55 (4), p.318-324
• Main Authors: Shore, David I, Mclaughlin, Elizabeth N, Klein, Raymond M
• Format: Article
• Language: English
• Subjects: Activity levels. Psychomotricity; Attention; Attentional Blink; Biological and medical sciences; Cognition & reasoning; Discrimination Learning; Eyes & eyesight; Female; Fundamental and applied biological sciences. Psychology; Human; Humans; Male; Orientation; Pattern Recognition, Visual; Perceptual Masking; Psychology; Psychology. Psychoanalysis. Psychiatry; Psychology. Psychophysiology; Psychophysics; Reaction Time; Resource allocation; Stimulus Complexity; Stimulus Intervals; Vigilance. Attention. Sleep; Visual Masking; Visual perception
• ISSN: 1196-1961; 1878-7290
• DOI: 10.1037/h0087379

When one masked target (T2) follows another (T1) in close temporal proximity, identification accuracy of the second target is reduced for a period referred to as the attentional blink. Analysis of the attentional blink literature suggests that increasing the difficulty of T1 processing increases the magnitude of the blink. In a previous study that eliminated several untoward features of the typical attentional blink design (e.g., task switching, location switching, and stream contribution), we found no effect on blink magnitude when three levels of T1 difficulty (manipulated in a data-limited manner) were randomly intermixed. Here, when we repeated the previous study using a blocked manipulation of T1 difficulty, which is characteristic of the literature, a significant positive relation between T1 difficulty and blink magnitude was found. Resource allocation put in place to encode T1 in advance of a dual-target trial thus seems to be the critical factor in mediating this relation. Lorsque la présentation d'une cible masquée (T2) suit rapidement celle d'une autre (T1) l'exactitude de l'identification de la seconde cible est réduite pendant une période dite de « clignotement attentionnel ». Les travaux portant sur le clignotement attentionnel suggèrent que plus le traitement de T1 est exigeant, plus l'ampleur du clignotement est marquée. Dans une précédente étude où l'on a éliminé plusieurs caractéristiques perverses de la procédure conventionnelle de clignotement attentionnel (p. ex., passage d'une tâche à une autre ou d'un site à un autre et rôle du flot d'information), nous n'avons constaté aucun effet sur l'ampleur du clignotement lorsque trois niveaux de difficulté quant à T1 (manipulés en limitant les données) étaient agencés de façon aléatoire. Dans la présente étude, lorsque nous avons reproduit l'étude précédente en ayant recours à une manipulation de la difficulté de T1 par blocs, comme dans la plupart des travaux, nous avons obtenu une corrélation positive entre le niveau de difficulté de T1 et l'amplitude du clignotement. L'attribution de ressources à l'encodage de T1 avant un essai à deux cibles semble donc intervenir de façon critique dans l'établissement de cette relation.