Prediction of child abuse: A prospective study of feasibility

• Published in: Child abuse & neglect 1984, Vol.8 (4), p.393-400
• Main Authors: Altemeier, William A., O'Connor, Susan, Vietze, Peter, Sandler, Howard, Sherrod, Kathryn
• Format: Article
• Language: English
• Subjects: Abuse; Attitude; Battered Child Syndrome; Biological and medical sciences; Child Abuse - prevention & control; Child Rearing; Child, Preschool; Female; Follow-Up Studies; High Risk; Humans; Infant; Infant, Newborn; Maternal Behavior; Medical sciences; Mental health; Mothers - psychology; Nurture; Prediction; Pregnancy; Prospective; Psychology. Psychoanalysis. Psychiatry; Psychopathology. Psychiatry; Risk; Self Concept; Social psychiatry. Ethnopsychiatry; Social Support; Stress, Psychological - complications
• ISSN: 0145-2134; 1873-7757
• DOI: 10.1016/0145-2134(84)90020-6

Feasibility of identifying risk for child abuse prospectively was determined by interviewing 1400 expectant mothers and predicting that 273 were high risk. Nonaccidental child injuries were subsequently reported to authorities for 6% of these versus 1% of the remaining 1127 families. Prediction was only effective for 24 months following interview. Thus prenatal prediction was feasible although the rate of false positive high risk assignment would limit practical application of the interview we used. As a first step to improve prediction accuracy, a group of the 20 strongest predictors was selected from the interview by regression analysis. The correlation of these with abuse was .44 compared to .15 for the original interview. Important predictors included subjective impressions of interviewers, residency transience, untruthfulness, disturbed childhood nurture, unwanted pregnancy, and perhaps conditions that increased parent-child exposure. La possibilité de dépister l'enfant à risque de façon prospective a été étudiée par des interviews. Un total de 1400 femmes enceintes ont été interrogées et d'après les critères utilisés, 273 de ces grossesses devaient résulter en la naissance d'un enfant risquant d'être maltraité. Par la suite, des traumatismes non accidentels furent diagnostiqués chez 6% de ces 273 enfants, chiffre qui est à comparer avec le 1% des traumatismes non accidentels survenant dans les 1127 autres familles. La valeur du dépistage était limitée à 24 mois après l'interview initial. Ainsi, on a trouvé qu'il était possible de faire un certain dépistage, mais le taux de faux positifs était suffisamment élevé pour limiter l'application pratique du genre d'interview utilisé. Pour améliorer la précision de la prospection, les auteurs sélectionnèrent un groupe d'indices de prédiction particulièrement forts, en s'aidant de l'analyse de régression. La corrélation de ces indices forts avec la maltraitance était de 0.44 comparé à 0.15, pour la valeur prédictive de l'interview original. Ces indices de prédiction particulièrement forts comprenaient l'impression suggestive de l'enquêteur, le manque de domiciles fixes, la fabulation, l'enfance malheureuse, la grossesse non désirée, ainsi que d'autres circonstances qui suggéraient fortement que l'enfant et les parents étaient particulièrement fragiles.